MaximeHébert-Lévesque. SAGUENAY – L’entrepreneur général de Dolbeau-Mistassini Unibec réalise présentement une extension de l’hôpital de Baie-Saint-Paul dans la région de Charlevoix. Le projet de 5 M$ bénéficie de l’expertise de la firme de Chicoutimi Unigec pour la mécanique du bâtiment. « Les travaux réalisés par
Crée des listes, ajoute des spots et partage-les avec tes amis. C'est votre entreprise ? Revendiquez cette fiche pour pouvoir facilement éditer ses informations. Horaires d'ouverture Photos Le dernier article du blog Les meilleurs bars geeks21/10/2019 - ARTICLES - Elisa La Paris Games Week fait son grand retour fin octobre ! Préparez-vous à vivre une immersion dans l’univers du jeu vidéo lors de cet événement qui rassemble depuis maintenant 10 ans de nombreux fans de la pop culture. Pour l’occasion, Hoodspot t’a préparé une petite liste de bars geeks où on trinque tout en s’amusant. … Lire la suite de l'article Une Question ? Choisissez le moyen le plus simple pour contacter ce professionnel Ils font la même chose à coté d'ALIBRANDJM Plus d'informations Retrouvez les informations légales, juridiques et financières, ou encore l’équipe d'ALIBRANDJM N° de SIRET 89120302800024 sur ou Augmentez votre chiffre d’affaire en vendant vos produits sur internet grâce à votre boutique en ligne Profitez d’un mois d’essai gratuit En profiter Bienavant que le ministre de l’Intérieur ne fasse éclater « l’affaire Iquioussen » en annonçant, il y a un mois, son expulsion, cet imam fondamentaliste faisait justement « affaire » avec un membre de sa famille ! Selon nos informations, le prédicateur de 58 ans, fiché S depuis dix-huit mois, a acheté il y a près de deux décennies son fief de Lourches, dans le Nord, à lOuvert aujourd'hui 8h00 - 23h00 Type d'espace Centre d'affaires Superficie 30 m2 Internet haut débit Espace pause Climatisation Nos utilisateurs en parlent L'âme de l'espace Vous serez charmé par le style factory de cet espace tendance combinant la pierre, le bois, le métal et le verre dans un environnement moderne et élégant pour l'organisation de vos réunions. Services - accès wi-fi à haut débit - vidéo-projecteur - paperboard - climatisation - luminaires multichromatiques Astuce Faîtes le plein de couleurs et de vitamines sur le marché d'Aligre pendant la pause déjeuner, ouvert 6j/7 sauf le lundi, où vous trouverez le plus grand choix de fruits et légumes de Paris à petits prix ! À quelle heure venir ? L' espace est exceptionnellement fermé • Le 27 septembre • Le 10 octobre Afficher plus Afficher moins Accès au centre d'affaires 19 rue Beccaria, 75012 Paris Les services gratuits Les extras payants Pause café - biscuits Pause café - biscuits - Thermos café + eau chaude thé + bouteilles d'eau - Jus de fruits - Biscuits et madeleines Pause petit déjeuner Pause café - viennoiserie - Thermos café + eau chaude thé + bouteilles d'eau - Jus de fruits - Viennoiseries Impression / Copie Impression, photocopie de documents Découvrez notre Pass Coworking Donnez accès à vos salariés à plus de 1 300 espaces de coworking à la carte Où allez-vous vous installer à Aligre Gare de Lyon ? Salles de réunion en location Salle Normandy Locations de salles de réunion Salle Champagne Voici d'autres espaces qui pourraient vous plaire.
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L'affaire Sébastien Métivier aussi appelée l'affaire Viens-Métivier-Lubin est une affaire de meurtres-disparitions qui a eu lieu le 1 novembre 1984 à Montréal, Québec. À l'époque, ces trois disparitions ont profondément secoué le Québec. L'organisme Enfant-Retour a été crée dans la foulée de ses événements. Les faits[] Sébastien Métivier Au cours de la soirée du 1 novembre 1984, alors que Sébastien Métivier, 8 ans, et Wilton Lubin 12 ans jouent dehors dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, ils disparaissent. L'affaire a mis un certain temps à se médiatiser, les autorités privilégiant la thèse de la fugue plutôt que le kidnapping. Wilton Lubin Plus tôt dans la journée, Maurice Viens 4 ans vivant avec sa mère Francine, et son frère Alexandre sur la rue Dorion, dans un quartier pauvre du Centre-Sud de Montréal rentre de la maternelle. Peu après, sans demander l'autorisation à sa mère, il se dirige vers le parc Rouen avec son ami Gagnon, lui aussi du même âge. Sur le chemin du retour, les deux bambins s'amusent dans la ruelle de la rue Dorion, à deux pas de leurs foyers respectifs. Puis à 13h15 un inconnu au volant d'une voiture invite les enfants à monter, en leur promettant des bonbons. Le petit Maurice est d'accord, tandis que son camarade craintif fuit et court avertir Francine Viens, la mère de Maurice. "Maurice est parti avec un monsieur" lui annonce-il. La police boucle rapidement le quartier, et organise d'imposantes recherches auxquelles 500 soldats et des bénévoles participent. Maurice Viens C'est plus tard, dans la soirée qu'on rapporta les disparitions de deux autres garçons dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve il s'agissait de Wilton Lubin, et son ami Sébastien Métivier. La thèse de la fugue est privilégiée, des amis les auraient aperçus dans le secteur du stade olympique. Lubin et Métivier seraient partis ce soir-là à la chasse aux voyous, puisque la veille ils s'étaient fait voler leurs friandises qu'ils avaient récoltées à Halloween. Meurtres[] Découverte du corps de Maurice Viens Trois jours après les disparitions, le blouson de Maurice est retrouvé le long d'une route à Saint-Antoine-sur-Richelieu. Une lettre adressée à la Police de la CUM révèle des détails sur le corps de Maurice Viens. Le lendemain, un policier de la sûreté du Québec de Portneuf Steven Lynch, ainsi qu'un hypnothérapeute Yvan Gagnon, mirent sous hypnose un homme d'affaire de la rive nord de Montréal qui souhaitait garder l'anonymat. Ce Monsieur X, comme il a été surnommé par les médias, se disait doué de sens extrasensoriels. D'après ses dires, il aurait "vu" un enfant s'amuser avec un homme sur une étroite route de campagne, à proximité d'une voie ferrée et d'un chalet délabré. Le 6 novembre 1984, Yvan Gagnon l'hypnothérapeute décide de se rendre sur le lieu indiqué une maison abandonnée située à Saint-Antoine-sur-Richelieu. À l'intérieur il y trouve le corps mutilé de Maurice Viens. 20 minutes plus tard les policiers de la sûreté du Québec arrivent sur les lieux, certains prétendirent que Maurice aurait été sodomisé et violemment battu alors qu'en 1994, André Cédilot publie "les grands procès du Québec" dans lequel il affirme que le bambin n'a pas subit de sévices sexuel. Voilà ce qu'il décrit à ce sujet le corps mutilé de l’enfant gît à demi-nu dans un trou du plancher… Ses pantalons et ses sous-vêtements sont rabattus sur ses talons, il a été battu, il porte des marques de violence sur le visage et sur le bas du dos. L’autopsie révèle qu’il a souffert le martyre avant de mourir des coups de bâton qui lui ont été assénés et qu’en dépit des apparences, il n’a pas subit de sévices sexuels » Après la découverte du corps de Maurice Viens, Monsieur X qui a permis de le retrouver devient automatiquement le principal suspect. Par la suite, Yvan Gagnon abandonnera ensuite l'hypno-thérapie et refusera de commenter l'affaire. L'enquête ne s'est pas orienté d'avantage vers Monsieur X. Découverte du corps de Wilton Lubin Le 2 décembre 1984, soit un mois après sa disparition, le corps de Wilton Lubin est retrouvé sur la rive du fleuve St-Laurent près de l'île Charron. Le meurtrier a jeté le corps du petit garçon de 12 ans dans le fleuve après l'avoir étranglé et égorgé il est méconnaissable. Les corps de Wilton Lubin, et Maurice Viens retrouvés, les enquêteurs pensent qu'il s'agit d'une question de jours avant de retrouver celui de Sébastien Métivier, les chances de le retrouver vivant s'amenuisent au fur et à mesure, mais son corps ne sera jamais retrouvé. Les policiers déclenchent tout de suite d'importantes recherches et ne négligent aucune piste, tous les terrains vagues de l'est de Montréal sont ratissés, tous les édifices abandonnés du quartier sont fouillés, et des affiches sont placardées partout dans Montréal. Malgré les moyens importants, les recherches ne donnent rien. Christiane Sirois, mère de Sébastien Métivier avec sa fille Mélanie, en 1985 Depuis 34 ans son corps n'a pas été retrouvé, ce qui a donné lieu à de nombreuses spéculations sur sa disparition, En 2011, Christiane Sirois, la mère de Sébastien est contactée sur Facebook par une proche de la famille avec qui elle échange pas moins de 25 messages jusqu'à ce qu'elles conviennent d'une rencontre. Selon Christiane Sirois, cette personne lui a dit "qu'il y a 20 ans, un homme lui avait confié qu'elle ne retrouverait jamais son fils vivant parce qu'il l'avait tué, découpé en morceaux puis laissé dans un terrain vague" L'homme identifié, il a accepté de passer le test du Polygraphe pour prouver son innocence. Depuis, aucun communiqué n'a été fait publiquement afin de dévoiler les résultats de ce test. Suspects[] Le 14 novembre 1984, ils procèdent à l'arrestation d'un chauffeur de taxi simplet âgé de 44 ans. Il a eu un comportement étrange durant son interrogatoire il s'est mit à parler comme-ci il s'adressait à quelqu'un se trouvait dans la pièce avec lui alors qu'il était seul. Jacques Duschesneau et ses collègues sont convaincus de sa culpabilité, mais aucune preuve ne pourra permettre de l'accuser. Pendant ce temps, la sûreté du Québec s'intéresse à un autre déficient mental dont l'identité ne sera jamais révélée publiquement. En octobre 1987 on annonce qu'un homme de 24 ans mentalement retardé vient d'avouer, mais l'affaire ne sera pas d'avantage développée. Jusque-là, le suspect qui fut le plus intéressant demeure ce chauffeur de taxi mentalement instable qui après avoir attaqué deux fillettes, avait été interné et déclaré inapte à vivre en société dès 1975. Dans les années 60 passe une loi dans la lignée des politiques de désinstitutionnalisation au Québec qui va permettre sa libération de l'Institut Phillipe Pinel en 1992. Sa photo a été publiée en une de magazine afin de recueillir des preuves contre lui, mais cela n'a rien donné. Depuis, il a été interné de nouveau et plus personne n'a entendu parler de lui. Jean Baptiste Duscheneau Le suspect le plus sérieux dans cette affaire fait son apparition en 1992. Grâce à des indices qui demeurent inconnus du public la police fit certaines déductions qui a permis de les conduire à se tourner vers un certain Jean-Baptiste Duchesneau, alors âgé de 44 ans à l'époque. En plus d'avoir un lourd casier judiciaire, il habitait à quelques rues seulement de Lubin et Métivier au moment des faits. Le 1 er novembre 1993, les enquêteurs Roger Pilon et Guy Préfontaine rendirent visite à Duchesneau qui se trouvait alors derrière les barreaux à La Macaza, près de Mont-Laurier, pour avoir agressé sexuellement une jeune fille de 7 ans. Duchesneau fut surpris de les voir se questionner sur le double meurtre de Lubin-Métivier, mais il fut d'accord pour passer le test du polygraphe deux jours plus tard. Mais le lendemain de cette rencontre, le 2 novembre 1993,et le lendemain de l'anniversaire des 9 ans de leurs disparitions, tandis que les enquêteurs effectuaient les démarches pour obtenir sa libération temporaire afin de se soumettre au test, Duschesneau se suicide dans sa cellule. Les enquêteurs qui l'avaient rencontrés la veille l'avaient trouvé "extrêmement tendu" A la suite de son suicide, les soupçons qui pesaient sur le coupable ne seront jamais confirmés. La victime Sylvie Tanguay, 7 ans Il faut également souligner le fait que Duchesneau avait déjà commis un meurtre auparavant En 1974, il avait assasinée de sang froid Sylvie Tanguay à coups de marteau. A la suite du procès qui avait eu lieu au palais de justice de Québec, il avait été reconnu coupable. Il aurait vraisemblablement été libéré en 1983 pour venir s'installer à Montréal. Il aura purgé moins de 10 ans pour le meurtre de la petite Sylvie. En 2006, le fils de Duchesneau, Keven Duchesneau a permis une entrevue exclusive dans laquelle il a décidé de dénoncer son propre père pour un autre meurtre celui du petit Denis Roux-Bergevin, 5 ans, qui a disparu le 5 juin 1985 vers midi après s'être assis sur une marche du Balcon de la résidence familiale qui était située dans le quartier Côte-Saint-Paul à Montréal. Son corps avait été retrouvé trois jours plus tard dans un bois de Brossard, sur la rive-sud de Montréal, il avait été frappé à la tête et portait des marques évidentes d'agression sexuelle sur son corps retrouvé à demi nu. Keven Duschesneau qui était adolescent au moment du meurtre pense même que son père pourrait avoir tué d'autres enfants à la même époque, en plus d'affirmer qu'il aurait eu un complice qui lui, est toujours en vie, ce qui pourrait inclure l'affaire Métivier.
Laffaire de la rue de Lourcine. 316 likes. "L'affaire de la rue de Lourcine" d'Eugène Labiche Mise en scène : Agnès Arnau
Informations générales sur 33 RUE LA FAYETTE TENANT SAS Raison sociale 33 RUE LA FAYETTE TENANT SAS Sigle Enseigne Chiffre d'affaires 2020 13 869 843 € + de détails Documents légaux 7 Documents légaux + de détails Actionnaires et filiales 1 Actionnaires ou filiales + de détails Dirigeants 2 dirigeants + de détails Adresse 33 RUE LA FAYETTE 75009 PARIS 09 Retrouvez les sociétésdu même département Téléphone Afficher le téléphone Appeler Fax Forme juridique SA par action simplifiée à associé unique Date de création Créée le 07/04/2016 Derniers statuts à jour + de détails Capital Social 14 020 000 € SIREN 819 701 988 SIRET 819 701 988 00027 Numéro de TVA FR00819701988 Activité code APE / NAF 8299Z / Autres activités de soutien aux entreprises Retrouvez les sociétésdu même secteur 33 RUE LA FAYETTE TENANT SAS, SA par action simplifiée à associé unique au capital de 14 020 000€, a débuté son activité en avril Bradley JONES est président de la société 33 RUE LA FAYETTE TENANT SAS. Le siège social de cette entreprise est actuellement situé 33 rue la Fayette - 75009 Paris 0933 RUE LA FAYETTE TENANT SAS évolue sur le secteur d'activité Activités administratives et autres activités de soutien aux entreprises Dirigeants - 33 RUE LA FAYETTE TENANT SAS Président M JONES Justin Directeur général Mme NACHANAKIAN Rebecca Acheter la fiche complète
Unehabitante de Lépanges, Charlotte Conreaux, contacte la justice en 1990. Avec son époux, elle réside dans l'ancien pavillon des Villemin, qui ont quitté la région. Entendue par les
Affaire DSK L'affaire DSK a connu de multiples rebondissements depuis son arrestation le 14 mai. Retour sur les principaux événements. Dans l'après-midi du vendredi 13 mai, Dominique Strauss-Kahn se présente à la réception de l'hôtel Sofitel de la 44e Rue, dans Manhattan, à New York, et prend une suite à 3 000 dollars 2 000 euros la nuit, qu'il obtient pour 525 dollars 360 euros, selon une source policière. La suite 2806 comprend un hall d'entrée, une chambre, une salle de réunion et un salon. Samedi 14 mai Vers midi 18 heures à Paris, une femme de chambre de 32 ans entre dans la suite occupée par Dominique Strauss-Kahn. Selon la plainte déposée par l'accusation, c'est à ce moment-là que se déroule l'agression dont est accusé le directeur général du Fonds monétaire international FMI. La femme de chambre parvient à sortir de la chambre et signale l'incident. Dominique Strauss-Kahn quitte la suite, et selon ses avocats, il déjeune ensuite en compagnie de sa fille dans un restaurant proche du Sofitel. La sécurité du Sofitel alerte la police, selon une source proche de l'enquête. Vers 14 h 15, Dominique Strauss-Kahn se rend à l'aéroport international John F. Kennedy pour embarquer à bord d'un vol Air France à destination de Paris. Selon la défense, il a réservé un siège à bord de ce vol "approximativement une semaine plus tôt". Quelques minutes avant le décollage, la police du Port Authority of New York & New Jersey, qui gère notamment les aéroports du secteur, monte à bord de l'appareil dans lequel se trouve Dominique Strauss-Kahn et l'interpelle. DSK sort de l'avion et les autorités portuaires le remettent à des enquêteurs de la police new-yorkaise. Le directeur général du FMI ne fait aucune déclaration et réclame un avocat. Il est transféré à la Special Victims Unit, une unité spéciale qui enquête sur les crimes à caractère sexuel. Dimanche 15 mai Dominique Strauss-Kahn est inculpé d'agression sexuelle, tentative de viol et séquestration. Il passe la nuit dans une cellule de la Special Victims Unit SVU. Pendant l'après-midi, la femme de chambre arrive au siège de la SVU. Elle identifie Dominique Strauss-Kahn comme étant son agresseur lors d'une"séance classique d'identification au milieu d'autres personnes", précise un porte-parole de la police new-yorkaise. Tard le soir, menottes aux poignets, DSK est emmené au Kings County Hospital de New York, à Brooklyn, où il est examiné par des experts médico-légaux spécialisés dans les affaires d'agression sexuelle. Il est ensuite transféré au dépôt du palais de justice de Manhattan. Lundi 16 mai A la mi-journée, la juge Melissa Jackson refuse la demande de libération sous caution et ordonne le placement en détention de Dominique Strauss-Kahn. Il est transféré à la prison de Rikers Island. A lire également L'inculpation de DSK, une collection d'articles du Monde réservée aux abonnés. Mercredi 18 mai Dominique Strauss-Kahn démissionne de son poste de directeur général du FMI. "Je démens avec la plus grande fermeté possible toutes les allégations portées à mon encontre", écrit-il dans sa lettre de démission. Jeudi 19 mai Le juge Michael Obus accorde à l'ancien ministre socialiste une libération sous caution. Son montant est fixé à un million de dollars 700 000 euros, avec un dépôt de garantie de cinq millions de dollars 3,4 millions d'euros. Dominique Strauss-Kahn sera assigné à résidence vingt-quatre heures sur vingt-quatre et devra porter un bracelet électronique. Un grand jury confirme son inculpation. Vendredi 20 mai Dominique Strauss-Kahn quitte Rikers Island et s'installe à titre provisoire dans un appartement sur Broadway, à proximité de Wall Street et de Ground Zero. Lundi 23 mai Dans une lettre adressée aux fonctionnaires du FMI, Dominique Strauss-Kahn se dit confiant, assure que la vérité éclatera et qu'il sera innocenté. Mercredi 25 mai Dominique Strauss-Kahn s'installe dans une maison de ville du quartier de Tribeca. Le loyer mensuel est estimé à 50 000 dollars 34 000 euros. Lundi 6 juin Comme attendu, Dominique Strauss-Kahn plaide non coupable lors d'une nouvelle audience judiciaire. Jeudi 30 juin Le New York Times affirme que les accusations portées contre Dominique Strauss-Kahn sont sur le point de s'effondrer. Une nouvelle audience, impromptue, devant le juge Michael Obus est programmée le lendemain. Vendredi 1er juillet A l'issue d'une audience de dix minutes, le juge annule l'assignation à résidence de Dominique Strauss-Kahn et ordonne la restitution du versement de la caution de 6 millions de dollars 4 millions d'euros – dont un million en espèces – qui lui avait permis de ne plus dormir en prison. Ce revirement fait suite à une lettre des services du procureur Cyrus Vance listant une série d'éléments de nature à entacher la crédibilité de la femme de chambre, Nafissatou Diallo. La prochaine audience reste fixée au 18 juillet. Lundi 4 juillet Après avoir hésité à le faire mi-mai, la journaliste et écrivaine Tristane Banon annonce qu'elle va porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn pour tentative de viol en 2003. Les avocats de Dominique Strauss-Kahn promettent en riposte une plainte pour dénonciation calomnieuse. Vendredi 8 juillet Selon le New York Times, durant la nuit précédant son arrestation, Dominique Strauss-Kahn a invité, séparément, deux employées du Sofitel dans sa suite, ce qu'elles ont refusé. Des témoignages corroborés par des images des caméras de vidéosurveillance. Lundi 11 juillet Tristane Banon est entendue par les enquêteurs. L'audience de Dominique Strauss-Kahn est reportée au 1er août. Lors d'une conférence de presse, deux jours plus tard, son avocat William Taylor admet que de l'ADN du sperme a été retrouvé dans la chambre. Mais il "pense qu'il n'existe aucune preuve" d'un rapport sexuel forcé. Mardi 19 juillet L'un des avocats de Nafissatou Diallo, Kenneth Thompson, demande à être reçu, avec le défenseur de Tristane Banon, David Koubbi, par le procureur Cyrus Vance. L'entretien dure trois heures. David Koubbi indiquera avoir refusé de partager avec le procureur les éléments du dossier de sa cliente, et démentira qu'elle ait été convoquée pour témoigner dans la procédure américaine. Lundi 25 juillet Nafissatou Diallo sort de son silence. Dans des entretiens à l'hebdomadaire Newsweek et à la chaîne ABC, elle contre-attaque et détaille sa version des faits. Un de ses avocats annonce le dépôt d'une plainte au civil dans les prochains jours, en vue d'obtenir des dommages et intérêts. Mardi 26 juillet Les avocats de Dominique Strauss-Kahn acceptent un nouveau report, au 23 août, de l'audience qui avait été programmée le 18 juillet puis le 1er août. "Nous comprenons que le procureur continue d'enquêter. Nous espérons que, d'ici le 23 août, il conclura à un non-lieu", déclarent-ils. Si l'audience est maintenue, elle devrait permettre au juge de donner une date pour le dépôt des motions des deux parties défense et accusation et une date théorique pour l'ouverture du procès. Mercredi 27 juillet Nafissatou Diallo se rend au bureau du procureur de New York. Lundi 8 août Nafissatou Diallo dépose plainte au civil contre Dominique Strauss-Kahn pour obtenir des dommages et intérêts après "l'agression violente et sadique" dont elle aurait été victime. La plainte de la femme de chambre de 32 ans d'origine guinéenne évoque "le versement de dommages et intérêts d'un montant à déterminer lors du procès", en réparation de préjudices moraux et physiques. Mardi 16 août L'Express publie le rapport médical de Nafissatou Diallo, établi peu après son agression sexuelle présumée par Dominique Strauss-Kahn, et qui impute ses blessures à un viol. Le document inclut dans la dernière page un schéma de la zone vaginale de la victime, relevant l'existence d'un traumatisme. Les avocats de Dominique Strauss-Kahn ripostent. "La conclusion du rapport de l'hôpital est basée presque exclusivement sur les propos [de la victime présumée] qui a prouvé de manière répétée qu'elle n'était pas crédible", écrivent William Taylor et Benjamin Brafman dans un communiqué. Quant aux "descriptions physiques" de la plaignante, "[ce] ne sont pas du tout des blessures et [elles] peuvent avoir été provoquées par de nombreuses autres causes qu'une agression sexuelle, y compris un rapport sexuel consenti plusieurs jours avant l'incident", estiment les avocats de DSK. Vendredi 19 août Citant des sources proches du dossier, deux journaux américains, le Wall Street Journal et le Daily Beast, affirme que des discussions secrètes ont eu lieu entre les avocats de Dominique Strauss-Kahn et ceux de Nafissatou Diallo dans les dernières semaines de juin en vue d'un accord financier contre le classement de l'affaire. Kenneth Thompson, l'avocat de Mme Diallo, dément vigoureusement ce qu'il qualifie d'"allégations". Dimanche 21 août Le New York Post affirme que le procureur chargé de l'affaire DSK, Cyrus Vance, demandera mardi 23 août au juge d'abandonner toutes les poursuites contre l'ancien patron du FMI. A lire également, sur la seconde phase de l'affaire, la collection Dominique Strauss-Kahn, coup de théâtre et conséquences, une sélection d'articles du Monde réservée aux abonnés. Le avec agences Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.TQkGC.