Chansonde l'Ă©cho (la) en Ă©cho Chanson de NoĂ«l pĂšre-noĂ«l Chanson des bĂȘtises bĂȘtises les p'tits loups du jazz Chanson des doigts (la) schĂ©ma corporel Chanson des doubles (la) compter P.Couture Chanson des gestes gestes sur la pulsation M.Agneray Chanson du hĂ©risson extrait conte musical dialogue et chƓurs P. Chatel Chanson du public (la) cirque Chanson finale (la)
Madame Justine WARD 1879-1975 a dĂ©veloppĂ© une mĂ©thode de formation musicale pour tous les enfants d’ñge scolaire par le geste geste mĂ©lodique, geste mĂ©trique, geste notre connaissance, aucune classe n’enseigne cette du chant par cette mĂ©thode apporte une rĂ©elle cohĂ©rence dans les apprentissages, les moyens mis en Ɠuvre Ă©tant les mĂȘmes , Ă  savoir l’apprentissage avec tout son corps ».Par exemple, le boulier musical tient lieu de dictĂ©e sans se faire une idĂ©e, voici un extrait du site de la Schola St GrĂ©goire, qui enseigne la mĂ©thode Ward La mĂ©thode Ward est une mĂ©thode complĂšte, simple, progressive, gestuelle assurant une formation musicale pour tous des enfants Ă  partir de 6 ans et des adultes. A l’aide de diffĂ©rents gestes mĂ©lodique, rythmique, mĂ©trique, les enfants et les adultes dĂ©couvrent progressivement les intervalles, le rythme Ă  l’aide de leur corps. Ils dĂ©couvrent ainsi la beautĂ© de la musique par une relation entre les notes. Ils donnent vie Ă  la musique. Cette mĂ©thode permet aussi un apprentissage de la direction pour un groupe, une chorale ou une assemblĂ©e. Chaque leçon comprend de la culture vocale. Les intervalles sont progressivement mĂ©morisĂ©s, d’abord par seconde, puis par tierce, 
 Le rythme est perçu comme Ă©lĂ©ment de synthĂšse. Il dĂ©passe le cadre rigide de la mesure. Les mouvements du corps associĂ©s au chant aident les enfants et les adultes Ă  sentir la relation rythmique, source de vitalitĂ© musicale et de beautĂ©. Les notations portĂ©es, clĂ©, notes,
 sont introduites progressivement. Des dictĂ©es mĂ©lodiques, rythmiques, mĂ©lodico-rythmiques permettent de concrĂ©tiser l’apprentissage. Des activitĂ©s crĂ©atives ouvrent la voie Ă  l’imagination des enfants. De nombreuses chansons sont travaillĂ©es, constituant progressivement un rĂ©pertoire. DiffĂ©rents manuels prĂ©sentant la MĂ©thode Ward sont disponibles Ă  la Schola Saint GrĂ©goire. La musique est une Ă©ducatrice, elle agit directement sur l’intelligence, la volontĂ©, la sensibilitĂ©, pour le bien comme pour le mal. » Madame Justine WARD 1879 – 1975 La Schola Saint GrĂ©goire propose deux types de sessions DĂ©couverte et apprentissage des bases de la MĂ©thode Pour tous ; Sessions de week-end sur demande pour un minimum de participants ; Formation de moniteurs Ă  la pĂ©dagogie Ward NĂ©cessite une formation musicale initiale ; Pour les institutrices, Ă©ducateurs, professeurs de musique ; Sessions de plusieurs jours dĂ©but juillet
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J'espÚre que vous passerez un agréable moment en découvrant les activités de notre quotidien, en cliquant sur les évÚnements qui ponctuent l'année scolaire et en appréciant les chefs d'oeuvre de notre petit musée. Avec l'aide des paroles, vous chanterez notre petit répertoire musical. Mamie, papi, tata, tonton... la famille et les amis éloignés ressentiront l'ambiance de notre classe. N'hésitez pas à nous laisser un petit message dans le livre d'or. Je le ferai découvrir aux élÚves. Mirela GIROD
16‱ Un escargot 1:38 Un escargot s’en allait Ă  la foire Pour acheter une paire de souliers Quand il arriva, il faisait dĂ©jĂ  nuit noire Il s’en retourna (cl-cl)* nu pied Un escargot s’en allait Ă  l’école Car il voulait apprendre Ă  chanter Quand il arriva ne vit que 01 Un petit pouce qui marche Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0045 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 02 En avant les petites bedaines Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0114 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 03 Trois p’tits bonshommes Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0101 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 04 Promenons-nous dans les bois Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0315 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 05 Nous n’irons plus au bois Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0057 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 06 Petit escargot Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0108 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel 07 Coccinelle, demoiselle Kalinou Un p'tit pouce qui marche 0140 Auteur Traditionnel / Compositeurs Traditionnel
Lechoix a Ă©tĂ© trĂšs difficile et on mettra ce top Ă  jour avec vos prochaines suggestions. FĂȘte de la gastronomie dans toute la France. Date : 25,26 et 27 septembre 2015. C'est prĂšs de 10.000
Pour ce dernier Week-End de juillet chaud et ensoleillĂ© a eu lieu la foire aux lumas Ă  VauchrĂ©tien Maine et Loire. đŸŒâ˜€ïž Luma est le nom patoisant de l’escargot en VendĂ©e. AprĂšs deux annĂ©es d’interruption, cause Covid-19, l’histoire continue, avec la 61Ăšme Ă©dition de la manifestation dont la rĂ©putation n’est plus Ă  faire La foire aux lumas. Cette festivitĂ© locale connait un succĂšs retentissant annĂ©e aprĂšs annĂ©e depuis 1959, grĂące aux 250 bĂ©nĂ©voles du comitĂ© des fĂȘtes. Les fameux maillots jaunes au service du nombreux public. Plus de 25 000 visiteurs ont participĂ© au programme du Week-End. Plus de 10 000 douzaines d’escargots ont Ă©tĂ© dĂ©gustĂ©es pendant ces 2 jours ! Les escargots au beurre d’Anjou sont prĂ©parĂ©s sur place.🐌 Les vins d’Anjou des vignerons en Aubance accompagnent Ă  merveille les assiettes d’escargots. Tout au long du Week-End, plusieurs animations sont Ă©galement proposĂ©es fanfare, orchestre, spectacles, vide-greniers, foire exposition, fĂȘte foraine
. Un transformiste professionnel a proposĂ© une soirĂ©e inoubliable avec de grandes stars de la chanson Dalida, MylĂšne Farmer, Clara Luciani
 Pour plus d’informations, cliquez ci-aprĂšs sur le site internet de la foire aux lumas Il est intĂ©ressant que ce Week-End festif mette en avant la consommation d’escargots beurrĂ©s. Il serait souhaitable que dans un futur plus ou moins proche les organisateurs proposent des escargots locaux, et mettent en avant l’hĂ©liciculture rĂ©gionale. Les Ă©leveurs sont nombreux Ă  proximitĂ© et seraient trĂšs certainement disposĂ©s Ă  fournir les escargots.

Lecommencement de l\u2019année N\u2019allons pas penser que la coutume de commencer l\u2019année le ler janvier alla de soi et ne connut pas de divergences elle on plus, et qu\u2019elle soit universelle aujourd\u2019hui.Aux 6e et 7e siÚcles de notre Úre, plusieurs provinces de France commençaient l\u2019année le ler mars.Charlemagne la fit débuter à

Contenu en pleine largeur Chanson Un escargot s’en allait Ă  la foire » de Jean Dauby et CĂ©sar Geoffray Imprimer la paroles de la chanson ♩ Un escargot s’en allait Ă  la foire Un escargot s’en allait Ă  la foire Un escargot s’en allait Ă  la foire Pour s’acheter une paire de souliers Quand il arriva, il faisait dĂ©jĂ  nuit noire Il s’en retourna – nu pieds. Un escargot s’en allait Ă  l’école Car il voulait apprendre Ă  chanter Quand il arriva, ne vit que des herbes folles C’était les vacances – d’étĂ©. Un escargot s’en allait en vacances Pour visiter l’Inde et le Japon Au bout de sept ans, il Ă©tait toujours en France Entre Paris et – Dijon ! Jean Dauby et CĂ©sar Geoffray Go to Top

\n \n chanson l escargot s en allait a la foire
Deuxpetits bonshommes s'en vont aux bois Deux petits oiseaux Deux petits papillons roux Devines-tu maman chérie Devinez Devinez qui Diabolo le mulot Dibilum Mirabilu Dig, Ding, dong Do le do il a bon dos Do ré mi fa sol Do ré mi fa sol autre version Do ré mi la perdrix Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, Dodo Berline Donnez moi Donnez moi Dorothée l'araignée Dors ma colombe Dors
Vous avez tous lu le magnifique texte de Sandrine de Paris, intitulĂ© La fessĂ©e dont je rĂȘve’, et sous-titrĂ© FessĂ©e publique pour employĂ©e insolente’ ? Si non lisez-le sans tarder !!! Avec l’accord de Sandrine nous avons collaborĂ© Ă  la crĂ©ation de ce nouveau rĂ©cit, je vous propose enfin une suite Ă  son fantastique rĂ©cit de fessĂ©e en entreprise. Nous espĂ©rons que ca vous plaira ! Voici donc ce nouveau rĂ©cit dans le texte, c’est toujours Sandrine qui parle Ă  la premiĂšre personne du singulier Je me dĂ©cide enfin a terminer l’histoire de ma collĂšgue fessĂ©e devant tous les collĂšgues. Parce que, oui, il a eu une suite. Oh j’ai bien hĂ©sitĂ© autant j’avais finalement trouvĂ© le premier Ă©pisode vraiment jouissif, autant vous verrez que cette suite a Ă©tĂ© plutĂŽt douloureuse et traumatisante pour moi
 Durant les quelques jours qui ont suivi la spectaculaire fessĂ©e, on ne parlait que ça. Ma collĂšgue n’osait pas croiser le regard de ses collĂšgues, tant elle craignait d’y lire plus de mĂ©chant amusement que de compassion. Mais au bout d’une semaine ça s’est calmĂ©. Par contre je ne m’étais pas rendu compte Ă  quel point elle s’était mise a me dĂ©tester. Et pour corser la situation, elle devenue la maĂźtresse de notre boss, ce que je n’ai su que bien plus tard. Donc tout Ă©tait rentrĂ© dans l’ordre, si je puis dire. Ma collĂšgue faisait mĂȘme semblant d’ĂȘtre trĂšs amie avec moi, ce qui me plaisait moyen, mais j’arrivais a passer sur mon ressentiment vis-a-vis d’elle. Tout allait donc bien jusqu’a ce jour oĂč tout a basculĂ© pour moi, bien que je ne m’en sois rendu compte que quelques temps aprĂšs que le mal fĂ»t fait. Bref, l’élĂ©ment dĂ©clencheur a Ă©tĂ© une erreur que j’ai commise. Je dois avouer que, sur le moment, je ne me suis pas rendu compte de la gravitĂ© de la situation dans laquelle cette erreur allait plonger l’entreprise. Ou plutĂŽt, dans ma grande naĂŻvetĂ©, j’ai cru que je pouvais en parler ouvertement Ă  celle que je croyais ĂȘtre mon amie, pour quĂ©rir son aide bienveillante. Elle m’a rassurĂ© en me faisant croire que ce n’était pas grave et qu’elle allait s’en occuper. En fait elle n’en a rien fait, en sachant pertinemment ce qui allait arriver Ă  cause mon erreur l’abandon d’un Ă©norme contrat, quasiment vital pour l’entreprise
 ce qui me fait vraiment mal, aujourd’hui, c’est de penser que si j’étais allĂ© parler immĂ©diatement au chef lui-mĂȘme, le dĂ©sastre aurait pu ĂȘtre Ă©vitĂ© ! En fait je ne me suis rendu compte de rien jusqu’à ce jour terrible oĂč tout s’est enchaĂźnĂ© a une vitesse incroyable. Un beau matin, environ deux semaines aprĂšs mon erreur fatale, mon amie est venue vers moi, l’air prĂ©occupĂ©e, au dĂ©but de la matinĂ©e, vers 9h Je lui ai demandĂ© ce qui se passait. Elle m’a expliquĂ© d’un air embarassĂ© que mon erreur d’il y a deux semaines avait causĂ© la perte d’un contrat vital pour l’entreprise. Elle a ajoutĂ© que le chef voulait me voir dans son bureau a 10h prĂ©cises. Comme je me dĂ©composais, elle a essayĂ© de me rassurer en me disant qu’elle serait lĂ  pour essayer de m’aider. Evidemment, elle ne voulait rien rater de ma chute totale !
 Donc Ă  10h je me retrouvais dans le fameux bureau du chef, celui avec les vitres Ă  travers lesquelles tout le monde pouvait voir. Je n’en menais pas large, comme on dit. Je passerai sur les dĂ©tails d’un dialogue qui s’est rapidement envenimĂ©, non pas que je me sois emportĂ©e comme ma collĂšgue un mois avant, mais le chef lui mĂȘme criait de plus en plus. Il Ă©tait vraiment fĂąchĂ©. Je regardais ma collĂšgue d’un air dĂ©sespĂ©rĂ©. Mais elle semblait soudain prendre le parti de son chef !!! J’en suis restĂ©e estomaquĂ©e
 Et puis le pire est arrivĂ©. Le chef a parlĂ© de me dĂ©noncer au grand PDG de la boĂźte, ce qui signifiait mon renvoi immĂ©diat. C’est alors que j’ai compris toute la perfidie de ma collĂšgue. Elle m’a regardĂ©e puis elle a regardĂ© le chef, et elle a suggĂ©rĂ© d’une voix mielleuse qu’il existait peut-ĂȘtre une autre solution me donner la fessĂ©e devant tout le monde, comme il la lui avait donnĂ©e un mois plus tĂŽt. Le sol s’est effondrĂ© sous mes pieds. Je me suis rendu compte que la porte Ă©tait ouverte et que tout le monde avait pu entendre toute la discussion. Et, comble de l’ironie, j’avais justement choisi de mette, ce jour-lĂ , un tailleur rose avec une jupe relativement courte et moulante, le tout assorti de louboutins Ă  talons trĂšs hauts, pour exciter mes collĂšgues masculins !!!
 On aurait dit que ma collĂšgue et le patron avaient prĂ©parĂ© le coup, parce qu’ils m’ont portĂ© le coup de grĂące en annonçant que la fessĂ©e aurait lieu a 11h45 prĂ©cises, juste avant la pause du dĂ©jeĂ»ner. Pendant une heure et demi j’ai eu le noeud au ventre Ă  la pensĂ©e de ce qui allait se passer. Je voyais du coin de l’oeil tous les regards goguenards qui convergeaient vers moi en attendant le moment oĂč ils verraient tout. Et le moment terrible est arrivĂ©. Et Ă  midi moins un quart exact, le boss est entrĂ© dans l’open space, suivi de ma collĂšgue, dont l’oeil brillait. Lui portait un costume cravate brun sur chemise blanche et elle un pantalon noir relativement moulant, chemisier blanc, ou plutĂŽt rose trĂšs pale. “Bien, cette fois c’est votre heure, Sandrine” a commencĂ© le boss. “Comme nous en avons convenu, je vais vous fesser devant tous vos collĂšgues !
 Ecoutez-moi, vous tous, vous pouvez arrĂȘter de travailler un petit quart d’heure. Mademoiselle Sandrine a commis une faute trĂšs grave qui a failli mettre l’entreprise en pĂ©ril. J’espĂšre que ce Ă  quoi vous allez assister va vous donner Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  ne pas commettre de telles erreurs.” Par correction, il a ajoutĂ© “Si quelqu’un ne veut pas assister, il peut s’en aller.” 
 mais ils sont tous restĂ©s !!! Et donc maintenant je savais que, dans un instant, j’allais vivre l’horreur. NaĂŻvement, j’espĂ©rais encore que tout ce que je cachais pudiquement sous ma jupe, et ma culotte de petite fille oui, parce que, en plus, j’avais mis une vraie culotte de petite fille !
, n’allait pas ĂȘtre exhibĂ© honteusement 
 ou, si vous prĂ©fĂ©rez, j’espĂ©rais de tout mon coeur que la fessĂ©e serait non-dĂ©culottĂ©e. Il ne pouvait pas oser, non il ne pouvait pas 
 Le boss vient vers moi, me fais me lever, attrape ma chaise de sa main libre l’autre me tenait solidement le bras et me traĂźne brusquement vers l’endroit vide, au milieu de l’open space, ou tout le monde me verra le mieux. Comme j’étais en talons hauts, je trĂ©buchais maladroitement en trottinant aprĂšs lui. Le boss a posĂ© la chaise par terre. Puis il s’est tournĂ© vers les collĂšgues et m’a forcĂ©e Ă  les regarder tous. J’avais la gorge sĂšche. Mon coeur battait Ă  tout rompre, je sentais le rouge me monter terriblement au visage. Je tremblais de tous mes membres. Mes mains Ă©taient moites. J’étais vraiment Ă  un chouillas de pleurer. Il s’est assis et m’as attirĂ©e Ă  lui. Il a pris le temps d’enlever sa veste et de la poser sur le dossier derriĂšre lui. Puis il m’a attrapĂ© et m’a basculĂ© basculĂ© sur ses genoux. Il a passĂ© son bras par dessus mon dos et l’a enroulĂ© jusqu’à ce que la main arrive sous le ventre, dangereusement prĂšs de mon intimitĂ©. MisĂšre, il avait une force herculĂ©enne, je ne pouvais plus bouger !!! J’ai essayĂ© de serrer les dents mais je savais, au fond de moi, que ça ne servirait a rien. Il a commencĂ© a me fesser sur la jupe. AĂŻe 
 ça faisait dĂ©jĂ  mal !
 Il claquait relativement lentement, en levant assez haut pour que la force soit dĂ©jĂ  remarquable. Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de commencer a gĂ©mir. Je croyais que j’arriverais a supporter, mais c’était sans compter le fait que la jupe allait ĂȘtre rapidement retroussĂ©e. J’ai commencĂ© Ă  sentir le fameux petit courant d’air sur les cuisses et sur ce qui apparaissait dĂ©jĂ  de mes fesses, Ă  peine encore cachĂ©es par la culotte . Alors que, jusqu’à prĂ©sent, tout s’était passĂ© dans un silence assez glacial, j’ai soudain entendu ma collĂšgue pouffer doucement de rire. Les rires se sont propagĂ©s rapidement, mais se sont aussi rapidement calmĂ©s. Du moins pour l’instant. Parce que le pire n’étais pas encore arrivĂ©. Et cette fois je commençais Ă  m’attendre au pire. Je n’ai d’ailleurs pas Ă©tĂ© déçue. Il a claquĂ© soudain plus vite et plus fort 
 La morsure des claques devenait vraiment dure Ă  supporter. J’entendais le bruit si caractĂ©ristique des claques en mĂȘme temps que je sentais la morsure de ces claques, encore un tout petit peu amortie par ma petite culotte qui couvrait encore relativement bien mes fesses. A ce moment je pensais encore m’en tirer, comme ma collĂšgue, Ă  bon compte, sans dĂ©culottage. Comme j’étais naĂŻve !
 J’étais dĂ©jĂ  en train de joliment danser sur les genoux de mon boss, tout en chantant le grand air de la Traviata, mais avec des parole simplifiĂ©es genre “AĂŻeaĂŻeaĂŻe”. Mais j’ai soudain senti la fessĂ©e s’arrĂȘter et la main du chef attraper ma petite culotte. Il y a eu une rumeur dans l’open space. Une sorte de “Aaah” de satisfaction, comme si tout le monde n’attendait que ça. Je me suis alors entendu hurler alors mĂȘme que je m’etais jurĂ© de ne pas rĂ©agir aussi bĂȘtement que ma collĂšgue un mois plus tĂŽt “Oh non pas ça 
 nooooon, pas la culotte, pas la culoooooootte !!!!!” 
 Mais cette fois le boss a Ă©tĂ© sans pitiĂ©. Le cauchemar absolu est devenu rĂ©alitĂ©. Ce que je n’aurais jamais imaginĂ©, mĂȘme dans mes pires cauchemars, s’est produit le patron a baissĂ© ma culotte !!!
 Pas juste un peu, comme j’aurais encore pu l’espĂ©rer, mais complĂštement, jusqu’aux genoux. Comme je n’avais pas mis de collant, j’avais les fesses et les jambes complĂštement nues. Le spectacle devait ĂȘtre admirable, parce que je suis trĂšs jolie, mais quelle honte de l’offrir dans une telle position. Voyez-vous, j’étais tournĂ©e de telle sorte que mes fesses Ă©taient offertes en spectacle de face, si je puis dire, aux spectateurs. Et ainsi ils ont eu non seulement une vue exceptionnelle sur mes fesses rondes, et dĂ©jĂ  probablement bien rougies, mais aussi sur ce qui apparaissait en dessous, mon intimitĂ©, que je ne pouvais absolument plus cacher !!! Oui les collĂšgues voyaient tout 
 et ils ne purent s’empĂȘcher de pouffer de rire, spĂ©cialement quelques femmes, et notamment ma collĂšgue, qui ne s’est plus gĂȘnĂ©e de rire ouvertement. Et je savais qu’ils voyaient, et, si je tournais un tout petit peu la tĂȘte, je voyais leur regard fixĂ© sur mon intimitĂ©, qui Ă©tait exhibĂ©e obscĂšnement par le baissage de la culotte, et je les voyais pouffer de rire 
 une collĂšgue s’est mis la main devant la bouche pour pouffer de rire en montrant mon sexe du doigt et en regardant une autre collĂšgue 
 et le patron a repris la fessĂ©e, son bras toujours passĂ© par dessus mon dos, et enroulĂ© jusqu’à ce que sa main soit sous mon ventre, toujours aussi dangereusement prĂšs de mon intimitĂ© 
 et cette fois la fessĂ©e est devenue absolument magistrale 
 Le patron claquait bien du plat de la main sur les deux fesses Ă  la fois, plutĂŽt Ă  la base des fesses. Il claquait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes fesses s’écrasaient, rebondissaient, rougissaient 
 putain, ça brĂ»lait horriblement !!! Le son des claques rĂ©sonnait dans l’open space. Tout le monde devait l’entendre, mĂȘme ailleurs dans l’entreprise. Au grĂ© des claques, je me suis mise Ă  me tortiller, Ă  sautiller d’un pied sur l’autre, Ă  lever et Ă  abaisser ma tĂȘte comme un cheval en furie 
 et mon intimitĂ© Ă©tait exhibĂ©e de maniĂšre trĂšs obscĂšne 
 J’essayais dĂ©sespĂ©rĂ©ment d’interposer ma petite main tremblotante, mais le patron a fini par la saisir et la tenir repliĂ©e sous le ventre, avec son bras qui me maintenait en position !!!
 Je me dĂ©battais et me tortillais, et je trĂ©pignais en perdant toute pudeur. Mon intimitĂ© Ă©tait de plus en plus exhibĂ©e trĂšs obscĂšnement 
 je le savais, je le sentais, mais j’étais tellement occupĂ©e Ă  essayer d’échapper un tant soi peu Ă  la morsure des claques, que je ne prenais mĂȘme plus le temps d’essayer de la cacher !
. La culotte a d’ailleurs glissĂ© petit Ă  petit aux chevilles, puis elle est carrĂ©ment tombĂ©e par terre, et je me suis retrouvĂ©e complĂštement nue du bas, libre de ruer des jambes dans tous les sens de maniĂšre de plus en plus grotesque. Et il y avait ce bruit de la fessĂ©e, si caractĂ©ristique ! Chaque claque rĂ©sonnait Ă  mon oreille, et je sentais la terrible brĂ»lure de la claque, et j’entendais clairement le rire cristallin de ma collĂšgue, ainsi que de quelques autres filles, Ă  prĂ©sent. 
 Je relevais la tĂȘte et la rabaissais, je ruais des jambes, je les Ă©cartais et les rapprochais frĂ©nĂ©tiquement, je me tournais sur le cĂŽtĂ© sans plus me prĂ©occuper du spactacle Ă©poustouflant que j’offrais alors !
 J’étais littĂ©ralement morte de honte, tout Ă©tait exhibĂ© de façon si honteuse, je ne maĂźtrisais plus rien !!
 Combien de temps ais-je mis pour craquer et me mettre Ă  pleurer comme une petite fille, Ă  hoqueter, Ă  finir par m’étrangler dans mes pleurs ? Une minute ? Deux minutes, pas plus 
 À un moment donnĂ©, pendant la fessĂ©e, j’ai rĂ©ussis Ă  m’échapper, je me suis retrouvĂ©e debout, lĂ©gĂšrement penchĂ©e en avant, la culotte toujours aux cuisses, mais mes talons m’empĂȘchaient de courir, je trĂ©buche 
 le patron m’a rattrapĂ©e, m’a ramenĂ©e Ă  la chaise, et m’a re-basculĂ©e sur ses genou pour encore plus de claques, encore plus fortes, encore plus longtemps, mais toujours bien du plat de la main sur les deux fesses Ă  la fois !!!
 Les gars se sont mis aussi rire grassement. Au bout, je pense, de trois minutes, trois petites minutes, qui m’ont paru une Ă©ternitĂ©, le boss a arrĂȘtĂ© la fessĂ©e. Mais le cauchemar Ă©tait loin d’ĂȘtre fini ! Il a commencĂ© par me pousser au bas de ses genoux. Je suis tombĂ©e au sol en pleurant Ă  chaudes larmes mais il s’est levĂ© lui aussi et m’a forcĂ©e Ă  me redresser aussitĂŽt. Je me suis retrouvĂ©e debout, dĂ©sespĂ©rĂ©ment incapable d’arrĂȘter le flot de sanglots qui agitaient tout mon corps. Mon visage devait ĂȘtre bouffi de larmes, les cheveux en dĂ©sordre. Ma jupe Ă©tait relevĂ©e, tellement moulante qu’elle ne retombait pas, et donc ma foufoune Ă©tait Ă  l’air, offerte cette fois en spectacle de maniĂšre incroyable. J’ai essayĂ© de la cacher avec mes mains, mais le patron m’a flanquĂ© une immense claque aux fesses qui m’a fait hurler et lĂącher mon intimitĂ© pour me frotter les fesses. Les larmes ont encore redoublĂ© si c’était possible. Il a hurlĂ© “Main sur la tĂȘte !
Et maintenant vous vous excusez devant vos collĂšgues pour ce que vous avez fait !!!” Alors lĂ , je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais dans un Ă©tat second. Je pense que je ne me suis mĂȘme pas rendu compte de ce que je disais. J’ai criĂ© “Salauds !!!!!!!”. Il y a eu un “Oooooh” de stupeur. Le patron m’a reprise par le bras, et forcĂ© Ă  le regarder “Aaaah Mademoiselle n’a encore pas compris la leçon ?
 Et bien cette fois on va voir !!!
” Et cette fois il m’a juste courbĂ©e sous son bras. Il Ă©tais tellement fort qu’il me tenait complĂštement penchĂ©e en avant, avec l’impossibilitĂ© complĂšte de me redresser, ni mĂȘme de me dĂ©gager 
 La fessĂ©e a repris. Mais cette fois il m’a fessĂ© avec une force et une rapiditĂ© incroyable. L’intensitĂ© des claques Ă©tait telle que nous ne restions pas immobiles. Je sursautais Ă  chaque claque, je me tortillais enfin, aussi bien que je le pouvais, tant j’étais tenue fermement sous son bras, et curieusement, nous tournions petit Ă  petit comme une sorte de valse lente, rythmĂ©e par les claques qui rĂ©sonnaient de maniĂšre assourdissante. Aussi le bruit de mes pleurs qui maintenant Ă©taient interminables et dĂ©chirants. Ca n’en finissait plus. J’ai dĂ» recevoir au moins 500 claques si ce n’est plus, beaucoup plus. Parfois j’étais de face Ă  mes collĂšgues et je les voyais, complĂštement hilares. Cette fois ils avaient aussi lĂąchĂ© les vannes du rire. Je les entendais “Haaaa ha ha ha ha !!!
” ” On lui voit tout !!!” “Oh ouiii c’est trop drĂŽle !
” “On voit sa foufoune !!!!!
..” “Haaa ha ha ha ha ha !!!
..” “Tu vois bien ?
 Viens par ici ma chĂ©rie 
” ” Quelle fessĂ©e, ah mais quelle fessĂ©e mes amies !!!
” “Ouiiii Haaaa ha ha ha ha ha ha !!!
..” ” Oh les gars, j’ai jamais cru que je verrai ça un jour !!!
..” “Quelle honte !!!
” “Je vois tout je vois tout !!! Hiiiii !!!!!
 Aaah la la c’est trop beau ” “Haaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!!!!!!” Ma collĂšgue pleurait littĂ©ralement de rire 
 Et puis enfin, enfin, il a arrĂȘtĂ© la fessĂ©e et m’a fait me relever. En fait j’ai commencĂ© par me mettre Ă  sautiller frĂ©nĂ©tiquement en hurlant hystĂ©riquement et en me frottant les fesses. J’avais perdu toute pudeur. C’étais absolument ridicule. Puis je me suis effondrĂ©e, Ă  genou puis dans la position escargot, en m’exhibant de façon de plus en plus obscĂšne. Mais le patron m’a fait brusquement me relever. J’avais Ă©videmment abandonnĂ© mes louboutins pendant la fessĂ©e
 Il m’a remise debout, face aux collĂšgues. “Mains sur la tĂȘte !!! Et maintenant, excusez-vous!!!!!” Je ne sais pas ce qui a bien pu ĂȘtre compris de ce que j’ai vaguement rĂ©ussi Ă  articuler, au milieu de mes sanglots. Mais ça a eu l’air de satisfaire le chef. Il m’a redonnĂ© deux Ă©normes claques sur les fesses en m’ordonnant de me reculotter. J’ai dĂ» ramasser ma culotte et la remonter devant tout le monde, pendant qu’il regardait l’assemblĂ©e avec un air triomphant, et que des applaudissements sans fins ont commencĂ©. J’ai redescendu ma jupe tant bien que mal, j’ai attrapĂ© mes louboutins, et, sans mĂȘme prendre le temps de les remettre, je me suis enfuie hors de l’open space pour courir me rĂ©fugier aux WC, toujours sous les applaudissements et dans un dernier immense Ă©clat de rire. Je n’ai pas osĂ© aller au rĂ©fectoire manger avec les gens. Je me suis cachĂ©e tant bien que mal. Mais je voyais mes collĂšgues rire, et j’entendais qu’il continuaient de se lancer des quolibets Ă  mon Ă©gard. C’était terrible. À un moment je suis soudain retrouvĂ©e en face de mon voisin de travail, au contour d’un mur.. il m’a vu, puis a commencĂ© Ă  ricaner 
 et enfin il a voulu me dire quelque chose, mais je me suis retournĂ©e et suis partie en courant pour ne pas l’entendre. HĂ©las, Ă  la fin de la pause de midi, il a bien fallu que je retourne Ă  mon travail. Je suis entrĂ©e a l’extrĂȘme fin de la pause, alors que tout le monde Ă©tait dĂ©jĂ  assis Ă  sa place. Je voyais tous les regards goguenards qui me dĂ©visageaient. Je me suis assise en faisant une grimace. Ça brĂ»lait encore terriblement !
 Et je respirais encore difficilement, tant j’avais pleurĂ©. J’en avais mal Ă  la poitrine. Mon voisin s’est penchĂ© vers moi et m’a chuchotĂ© “Magnifique spectacle, tu nous a offert lĂ  !
” Je me suis sentie rougir jusqu’a la racine des cheveux. J’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais aucun regard de pitiĂ© ou de compassion. Que des regards malicieux et moqueurs. Mais le pire c’est quand ma collĂšgue dĂ©testĂ©e est venue me trouver, une heure plus tard !
 Je ne l’ai pas vue arriver. Tout a coup sa voix m’a fait sursauter. Elle m’a chuchotĂ© Ă  l’oreille “Eh bien, ma chĂ©rie, quelle fessĂ©e !!!
 Moi, Ă  cĂŽtĂ©, c’était du pipi de minet 
 et cul nu, en plus
. oh la honte
. comme ça j’ai pu voir tes fesses moi, hi hi hi 
 tu ne peux pas en dire autant 
 et j’ai pu voir que tu as un peu de cellulite
 c’est bien fait pour toi, et si jamais un jour tu as besoin de te rafraĂźchir la mĂ©moire, j’ai filmĂ© ta raclĂ©e avec mon smartphone
” Puis soudain, sans crier gare, peut-ĂȘtre parce que, anĂ©antie par tant de mĂ©chancetĂ©, je ne rĂ©agissais pas comme elle l’aurait voulu, elle se met a parler beaucoup plus fort, pour que tout le monde entende “J’espĂšre que ça t’auras appris ta lecon ?
 Ah, on peut dire que tu nous a bien fait rire !!! Hiii hi hi hi !!! Pas vrai les autres ?” Je l’ai regardĂ©e d’un air mĂ©chant. Heureusement, personne n’a osĂ© lui rĂ©pondre 
 Elle ajoute, pour bien enfoncer le poignard dans mon coeur “VoilĂ  ce qui arrive aux petites employĂ©es Ă©cervelĂ©es qui font mal leur travail !
” Je la regarde en essayant de la tuer du regard, et je me lĂšve Ă  moitiĂ© pour lui faire face. Elle me nargue “Tu en veux encore une ?” Je me prĂ©fĂšre faire profil bas et me rassieds. D’ailleurs le boss apparaĂźt et la rappelle sĂšchement Ă  sa place. En fait, ça a Ă©tĂ© vraiment dur pour moi pendant environ une semaine. En gĂ©nĂ©ral je devais juste affronter des regards encore rigolards, voire franchemenrt moqueurs. Parfois on me rappelait de maniĂšre pas trĂšs fine ce que je leur avais montrĂ© si honteusenent. Les collĂšgues fĂ©minines Ă©taient d’ailleurs souvent beaucoup plus mĂ©chantes et perverses que les hommes. Quoique certains collĂšgues masculins ne se gĂȘnaient pas de lancer des blagues extrĂȘmement vulgaire sur moi. Un dessin caricatural a mĂȘme circulĂ© quelques jours 
 Au bout de deux semaines, heureusement, ça s’est calmĂ©. Mais je me posais de sĂ©rieuses questions sur mon avenir dans cette entreprise. Je ne me sentais plus l’envie de faire carriĂšre dans cette boĂźte. Je me suis donc mise en recherche active d’un nouveau job. Mais sans succĂšs. À chaque fois ma candidature n’était pas retenue. Et puis, est arrivĂ© un jour oĂč j’ai pu passer toutes les sĂ©lections et aller jusqu’en finale. Nous n’étions plus que 2 candidates. Lors du dernier entretien, qui Ă©tait dĂ©terminant, j’ai Ă©tĂ© reçue par un homme et une femme. Or devinez quoi ? Pendant l’entretien, j’ai cru ressentir comme une sorte de raillerie dans toutes les questions qu’ils me posaient. Leurs questions Ă©taient parfois mĂȘme trĂšs ambiguĂ«s. Du style “Si vous faites une erreur, vous prĂ©fĂ©rez une procĂ©dure classique d’enquĂȘte qui peut mal tourner pour vous, ou une maniĂšre plus expĂ©ditive, Ă©ventuellement dĂ©sagrĂ©able dur le moment, mais en sachant que vous conserverez votre poste ?” Je suis tellement naĂŻve que je n’ai mĂȘme pas tout de suite compris !
 Ils avaient, Ă©videmment, Ă©tĂ© informĂ©s de ce qui m’était arrivĂ© environ trois mois plus tĂŽt
 en fait j’ai mĂȘme fini par avoir la preuve qu’ils avaient reçu la vidĂ©o. Qu’est-ce qui m’a pris d’accepter le poste qu’ils m’ont offert a bras ouvert ?
Mais ça, c’est une nouvelle histoire, que je vous raconterai peut-ĂȘtre plus tard, si vous le dĂ©sirez !

qyp3xbc.
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