Lecommencement de l\u2019annĂ©e N\u2019allons pas penser que la coutume de commencer l\u2019annĂ©e le ler janvier alla de soi et ne connut pas de divergences elle on plus, et qu\u2019elle soit universelle aujourd\u2019hui.Aux 6e et 7e siĂšcles de notre Ăšre, plusieurs provinces de France commençaient l\u2019annĂ©e le ler mars.Charlemagne la fit dĂ©buter Ă
Contenu en pleine largeur Chanson Un escargot sâen allait Ă la foire » de Jean Dauby et CĂ©sar Geoffray Imprimer la paroles de la chanson ⊠Un escargot sâen allait Ă la foire Un escargot sâen allait Ă la foire Un escargot sâen allait Ă la foire Pour sâacheter une paire de souliers Quand il arriva, il faisait dĂ©jĂ nuit noire Il sâen retourna â nu pieds. Un escargot sâen allait Ă lâĂ©cole Car il voulait apprendre Ă chanter Quand il arriva, ne vit que des herbes folles CâĂ©tait les vacances â dâĂ©tĂ©. Un escargot sâen allait en vacances Pour visiter lâInde et le Japon Au bout de sept ans, il Ă©tait toujours en France Entre Paris et â Dijon ! Jean Dauby et CĂ©sar Geoffray Go to Top
Deuxpetits bonshommes s'en vont aux bois Deux petits oiseaux Deux petits papillons roux Devines-tu maman chérie Devinez Devinez qui Diabolo le mulot Dibilum Mirabilu Dig, Ding, dong Do le do il a bon dos Do ré mi fa sol Do ré mi fa sol autre version Do ré mi la perdrix Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, Dodo Berline Donnez moi Donnez moi Dorothée l'araignée Dors ma colombe Dors
Vous avez tous lu le magnifique texte de Sandrine de Paris, intitulĂ© La fessĂ©e dont je rĂȘveâ, et sous-titrĂ© FessĂ©e publique pour employĂ©e insolenteâ ? Si non lisez-le sans tarder !!! Avec lâaccord de Sandrine nous avons collaborĂ© Ă la crĂ©ation de ce nouveau rĂ©cit, je vous propose enfin une suite Ă son fantastique rĂ©cit de fessĂ©e en entreprise. Nous espĂ©rons que ca vous plaira ! Voici donc ce nouveau rĂ©cit dans le texte, câest toujours Sandrine qui parle Ă la premiĂšre personne du singulier Je me dĂ©cide enfin a terminer lâhistoire de ma collĂšgue fessĂ©e devant tous les collĂšgues. Parce que, oui, il a eu une suite. Oh jâai bien hĂ©sitĂ© autant jâavais finalement trouvĂ© le premier Ă©pisode vraiment jouissif, autant vous verrez que cette suite a Ă©tĂ© plutĂŽt douloureuse et traumatisante pour moi⊠Durant les quelques jours qui ont suivi la spectaculaire fessĂ©e, on ne parlait que ça. Ma collĂšgue nâosait pas croiser le regard de ses collĂšgues, tant elle craignait dây lire plus de mĂ©chant amusement que de compassion. Mais au bout dâune semaine ça sâest calmĂ©. Par contre je ne mâĂ©tais pas rendu compte Ă quel point elle sâĂ©tait mise a me dĂ©tester. Et pour corser la situation, elle devenue la maĂźtresse de notre boss, ce que je nâai su que bien plus tard. Donc tout Ă©tait rentrĂ© dans lâordre, si je puis dire. Ma collĂšgue faisait mĂȘme semblant dâĂȘtre trĂšs amie avec moi, ce qui me plaisait moyen, mais jâarrivais a passer sur mon ressentiment vis-a-vis dâelle. Tout allait donc bien jusquâa ce jour oĂč tout a basculĂ© pour moi, bien que je ne mâen sois rendu compte que quelques temps aprĂšs que le mal fĂ»t fait. Bref, lâĂ©lĂ©ment dĂ©clencheur a Ă©tĂ© une erreur que jâai commise. Je dois avouer que, sur le moment, je ne me suis pas rendu compte de la gravitĂ© de la situation dans laquelle cette erreur allait plonger lâentreprise. Ou plutĂŽt, dans ma grande naĂŻvetĂ©, jâai cru que je pouvais en parler ouvertement Ă celle que je croyais ĂȘtre mon amie, pour quĂ©rir son aide bienveillante. Elle mâa rassurĂ© en me faisant croire que ce nâĂ©tait pas grave et quâelle allait sâen occuper. En fait elle nâen a rien fait, en sachant pertinemment ce qui allait arriver Ă cause mon erreur lâabandon dâun Ă©norme contrat, quasiment vital pour lâentreprise⊠ce qui me fait vraiment mal, aujourdâhui, câest de penser que si jâĂ©tais allĂ© parler immĂ©diatement au chef lui-mĂȘme, le dĂ©sastre aurait pu ĂȘtre Ă©vitĂ© ! En fait je ne me suis rendu compte de rien jusquâĂ ce jour terrible oĂč tout sâest enchaĂźnĂ© a une vitesse incroyable. Un beau matin, environ deux semaines aprĂšs mon erreur fatale, mon amie est venue vers moi, lâair prĂ©occupĂ©e, au dĂ©but de la matinĂ©e, vers 9h Je lui ai demandĂ© ce qui se passait. Elle mâa expliquĂ© dâun air embarassĂ© que mon erreur dâil y a deux semaines avait causĂ© la perte dâun contrat vital pour lâentreprise. Elle a ajoutĂ© que le chef voulait me voir dans son bureau a 10h prĂ©cises. Comme je me dĂ©composais, elle a essayĂ© de me rassurer en me disant quâelle serait lĂ pour essayer de mâaider. Evidemment, elle ne voulait rien rater de ma chute totale !⊠Donc Ă 10h je me retrouvais dans le fameux bureau du chef, celui avec les vitres Ă travers lesquelles tout le monde pouvait voir. Je nâen menais pas large, comme on dit. Je passerai sur les dĂ©tails dâun dialogue qui sâest rapidement envenimĂ©, non pas que je me sois emportĂ©e comme ma collĂšgue un mois avant, mais le chef lui mĂȘme criait de plus en plus. Il Ă©tait vraiment fĂąchĂ©. Je regardais ma collĂšgue dâun air dĂ©sespĂ©rĂ©. Mais elle semblait soudain prendre le parti de son chef !!! Jâen suis restĂ©e estomaquĂ©e⊠Et puis le pire est arrivĂ©. Le chef a parlĂ© de me dĂ©noncer au grand PDG de la boĂźte, ce qui signifiait mon renvoi immĂ©diat. Câest alors que jâai compris toute la perfidie de ma collĂšgue. Elle mâa regardĂ©e puis elle a regardĂ© le chef, et elle a suggĂ©rĂ© dâune voix mielleuse quâil existait peut-ĂȘtre une autre solution me donner la fessĂ©e devant tout le monde, comme il la lui avait donnĂ©e un mois plus tĂŽt. Le sol sâest effondrĂ© sous mes pieds. Je me suis rendu compte que la porte Ă©tait ouverte et que tout le monde avait pu entendre toute la discussion. Et, comble de lâironie, jâavais justement choisi de mette, ce jour-lĂ , un tailleur rose avec une jupe relativement courte et moulante, le tout assorti de louboutins Ă talons trĂšs hauts, pour exciter mes collĂšgues masculins !!!⊠On aurait dit que ma collĂšgue et le patron avaient prĂ©parĂ© le coup, parce quâils mâont portĂ© le coup de grĂące en annonçant que la fessĂ©e aurait lieu a 11h45 prĂ©cises, juste avant la pause du dĂ©jeĂ»ner. Pendant une heure et demi jâai eu le noeud au ventre Ă la pensĂ©e de ce qui allait se passer. Je voyais du coin de lâoeil tous les regards goguenards qui convergeaient vers moi en attendant le moment oĂč ils verraient tout. Et le moment terrible est arrivĂ©. Et Ă midi moins un quart exact, le boss est entrĂ© dans lâopen space, suivi de ma collĂšgue, dont lâoeil brillait. Lui portait un costume cravate brun sur chemise blanche et elle un pantalon noir relativement moulant, chemisier blanc, ou plutĂŽt rose trĂšs pale. âBien, cette fois câest votre heure, Sandrineâ a commencĂ© le boss. âComme nous en avons convenu, je vais vous fesser devant tous vos collĂšgues !⊠Ecoutez-moi, vous tous, vous pouvez arrĂȘter de travailler un petit quart dâheure. Mademoiselle Sandrine a commis une faute trĂšs grave qui a failli mettre lâentreprise en pĂ©ril. JâespĂšre que ce Ă quoi vous allez assister va vous donner Ă rĂ©flĂ©chir Ă ne pas commettre de telles erreurs.â Par correction, il a ajoutĂ© âSi quelquâun ne veut pas assister, il peut sâen aller.â ⊠mais ils sont tous restĂ©s !!! Et donc maintenant je savais que, dans un instant, jâallais vivre lâhorreur. NaĂŻvement, jâespĂ©rais encore que tout ce que je cachais pudiquement sous ma jupe, et ma culotte de petite fille oui, parce que, en plus, jâavais mis une vraie culotte de petite fille !âŠ, nâallait pas ĂȘtre exhibĂ© honteusement ⊠ou, si vous prĂ©fĂ©rez, jâespĂ©rais de tout mon coeur que la fessĂ©e serait non-dĂ©culottĂ©e. Il ne pouvait pas oser, non il ne pouvait pas ⊠Le boss vient vers moi, me fais me lever, attrape ma chaise de sa main libre lâautre me tenait solidement le bras et me traĂźne brusquement vers lâendroit vide, au milieu de lâopen space, ou tout le monde me verra le mieux. Comme jâĂ©tais en talons hauts, je trĂ©buchais maladroitement en trottinant aprĂšs lui. Le boss a posĂ© la chaise par terre. Puis il sâest tournĂ© vers les collĂšgues et mâa forcĂ©e Ă les regarder tous. Jâavais la gorge sĂšche. Mon coeur battait Ă tout rompre, je sentais le rouge me monter terriblement au visage. Je tremblais de tous mes membres. Mes mains Ă©taient moites. JâĂ©tais vraiment Ă un chouillas de pleurer. Il sâest assis et mâas attirĂ©e Ă lui. Il a pris le temps dâenlever sa veste et de la poser sur le dossier derriĂšre lui. Puis il mâa attrapĂ© et mâa basculĂ© basculĂ© sur ses genoux. Il a passĂ© son bras par dessus mon dos et lâa enroulĂ© jusquâĂ ce que la main arrive sous le ventre, dangereusement prĂšs de mon intimitĂ©. MisĂšre, il avait une force herculĂ©enne, je ne pouvais plus bouger !!! Jâai essayĂ© de serrer les dents mais je savais, au fond de moi, que ça ne servirait a rien. Il a commencĂ© a me fesser sur la jupe. AĂŻe ⊠ça faisait dĂ©jĂ mal !⊠Il claquait relativement lentement, en levant assez haut pour que la force soit dĂ©jĂ remarquable. Je nâai pas pu mâempĂȘcher de commencer a gĂ©mir. Je croyais que jâarriverais a supporter, mais câĂ©tait sans compter le fait que la jupe allait ĂȘtre rapidement retroussĂ©e. Jâai commencĂ© Ă sentir le fameux petit courant dâair sur les cuisses et sur ce qui apparaissait dĂ©jĂ de mes fesses, Ă peine encore cachĂ©es par la culotte . Alors que, jusquâĂ prĂ©sent, tout sâĂ©tait passĂ© dans un silence assez glacial, jâai soudain entendu ma collĂšgue pouffer doucement de rire. Les rires se sont propagĂ©s rapidement, mais se sont aussi rapidement calmĂ©s. Du moins pour lâinstant. Parce que le pire nâĂ©tais pas encore arrivĂ©. Et cette fois je commençais Ă mâattendre au pire. Je nâai dâailleurs pas Ă©tĂ© déçue. Il a claquĂ© soudain plus vite et plus fort ⊠La morsure des claques devenait vraiment dure Ă supporter. Jâentendais le bruit si caractĂ©ristique des claques en mĂȘme temps que je sentais la morsure de ces claques, encore un tout petit peu amortie par ma petite culotte qui couvrait encore relativement bien mes fesses. A ce moment je pensais encore mâen tirer, comme ma collĂšgue, Ă bon compte, sans dĂ©culottage. Comme jâĂ©tais naĂŻve !⊠JâĂ©tais dĂ©jĂ en train de joliment danser sur les genoux de mon boss, tout en chantant le grand air de la Traviata, mais avec des parole simplifiĂ©es genre âAĂŻeaĂŻeaĂŻeâ. Mais jâai soudain senti la fessĂ©e sâarrĂȘter et la main du chef attraper ma petite culotte. Il y a eu une rumeur dans lâopen space. Une sorte de âAaahâ de satisfaction, comme si tout le monde nâattendait que ça. Je me suis alors entendu hurler alors mĂȘme que je mâetais jurĂ© de ne pas rĂ©agir aussi bĂȘtement que ma collĂšgue un mois plus tĂŽt âOh non pas ça ⊠nooooon, pas la culotte, pas la culoooooootte !!!!!â ⊠Mais cette fois le boss a Ă©tĂ© sans pitiĂ©. Le cauchemar absolu est devenu rĂ©alitĂ©. Ce que je nâaurais jamais imaginĂ©, mĂȘme dans mes pires cauchemars, sâest produit le patron a baissĂ© ma culotte !!!⊠Pas juste un peu, comme jâaurais encore pu lâespĂ©rer, mais complĂštement, jusquâaux genoux. Comme je nâavais pas mis de collant, jâavais les fesses et les jambes complĂštement nues. Le spectacle devait ĂȘtre admirable, parce que je suis trĂšs jolie, mais quelle honte de lâoffrir dans une telle position. Voyez-vous, jâĂ©tais tournĂ©e de telle sorte que mes fesses Ă©taient offertes en spectacle de face, si je puis dire, aux spectateurs. Et ainsi ils ont eu non seulement une vue exceptionnelle sur mes fesses rondes, et dĂ©jĂ probablement bien rougies, mais aussi sur ce qui apparaissait en dessous, mon intimitĂ©, que je ne pouvais absolument plus cacher !!! Oui les collĂšgues voyaient tout ⊠et ils ne purent sâempĂȘcher de pouffer de rire, spĂ©cialement quelques femmes, et notamment ma collĂšgue, qui ne sâest plus gĂȘnĂ©e de rire ouvertement. Et je savais quâils voyaient, et, si je tournais un tout petit peu la tĂȘte, je voyais leur regard fixĂ© sur mon intimitĂ©, qui Ă©tait exhibĂ©e obscĂšnement par le baissage de la culotte, et je les voyais pouffer de rire ⊠une collĂšgue sâest mis la main devant la bouche pour pouffer de rire en montrant mon sexe du doigt et en regardant une autre collĂšgue ⊠et le patron a repris la fessĂ©e, son bras toujours passĂ© par dessus mon dos, et enroulĂ© jusquâĂ ce que sa main soit sous mon ventre, toujours aussi dangereusement prĂšs de mon intimitĂ© ⊠et cette fois la fessĂ©e est devenue absolument magistrale ⊠Le patron claquait bien du plat de la main sur les deux fesses Ă la fois, plutĂŽt Ă la base des fesses. Il claquait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes fesses sâĂ©crasaient, rebondissaient, rougissaient ⊠putain, ça brĂ»lait horriblement !!! Le son des claques rĂ©sonnait dans lâopen space. Tout le monde devait lâentendre, mĂȘme ailleurs dans lâentreprise. Au grĂ© des claques, je me suis mise Ă me tortiller, Ă sautiller dâun pied sur lâautre, Ă lever et Ă abaisser ma tĂȘte comme un cheval en furie ⊠et mon intimitĂ© Ă©tait exhibĂ©e de maniĂšre trĂšs obscĂšne ⊠Jâessayais dĂ©sespĂ©rĂ©ment dâinterposer ma petite main tremblotante, mais le patron a fini par la saisir et la tenir repliĂ©e sous le ventre, avec son bras qui me maintenait en position !!!⊠Je me dĂ©battais et me tortillais, et je trĂ©pignais en perdant toute pudeur. Mon intimitĂ© Ă©tait de plus en plus exhibĂ©e trĂšs obscĂšnement ⊠je le savais, je le sentais, mais jâĂ©tais tellement occupĂ©e Ă essayer dâĂ©chapper un tant soi peu Ă la morsure des claques, que je ne prenais mĂȘme plus le temps dâessayer de la cacher !âŠ. La culotte a dâailleurs glissĂ© petit Ă petit aux chevilles, puis elle est carrĂ©ment tombĂ©e par terre, et je me suis retrouvĂ©e complĂštement nue du bas, libre de ruer des jambes dans tous les sens de maniĂšre de plus en plus grotesque. Et il y avait ce bruit de la fessĂ©e, si caractĂ©ristique ! Chaque claque rĂ©sonnait Ă mon oreille, et je sentais la terrible brĂ»lure de la claque, et jâentendais clairement le rire cristallin de ma collĂšgue, ainsi que de quelques autres filles, Ă prĂ©sent. ⊠Je relevais la tĂȘte et la rabaissais, je ruais des jambes, je les Ă©cartais et les rapprochais frĂ©nĂ©tiquement, je me tournais sur le cĂŽtĂ© sans plus me prĂ©occuper du spactacle Ă©poustouflant que jâoffrais alors !⊠JâĂ©tais littĂ©ralement morte de honte, tout Ă©tait exhibĂ© de façon si honteuse, je ne maĂźtrisais plus rien !!⊠Combien de temps ais-je mis pour craquer et me mettre Ă pleurer comme une petite fille, Ă hoqueter, Ă finir par mâĂ©trangler dans mes pleurs ? Une minute ? Deux minutes, pas plus ⊠à un moment donnĂ©, pendant la fessĂ©e, jâai rĂ©ussis Ă mâĂ©chapper, je me suis retrouvĂ©e debout, lĂ©gĂšrement penchĂ©e en avant, la culotte toujours aux cuisses, mais mes talons mâempĂȘchaient de courir, je trĂ©buche ⊠le patron mâa rattrapĂ©e, mâa ramenĂ©e Ă la chaise, et mâa re-basculĂ©e sur ses genou pour encore plus de claques, encore plus fortes, encore plus longtemps, mais toujours bien du plat de la main sur les deux fesses Ă la fois !!!⊠Les gars se sont mis aussi rire grassement. Au bout, je pense, de trois minutes, trois petites minutes, qui mâont paru une Ă©ternitĂ©, le boss a arrĂȘtĂ© la fessĂ©e. Mais le cauchemar Ă©tait loin dâĂȘtre fini ! Il a commencĂ© par me pousser au bas de ses genoux. Je suis tombĂ©e au sol en pleurant Ă chaudes larmes mais il sâest levĂ© lui aussi et mâa forcĂ©e Ă me redresser aussitĂŽt. Je me suis retrouvĂ©e debout, dĂ©sespĂ©rĂ©ment incapable dâarrĂȘter le flot de sanglots qui agitaient tout mon corps. Mon visage devait ĂȘtre bouffi de larmes, les cheveux en dĂ©sordre. Ma jupe Ă©tait relevĂ©e, tellement moulante quâelle ne retombait pas, et donc ma foufoune Ă©tait Ă lâair, offerte cette fois en spectacle de maniĂšre incroyable. Jâai essayĂ© de la cacher avec mes mains, mais le patron mâa flanquĂ© une immense claque aux fesses qui mâa fait hurler et lĂącher mon intimitĂ© pour me frotter les fesses. Les larmes ont encore redoublĂ© si câĂ©tait possible. Il a hurlĂ© âMain sur la tĂȘte !âŠEt maintenant vous vous excusez devant vos collĂšgues pour ce que vous avez fait !!!â Alors lĂ , je ne sais pas ce qui mâa pris. JâĂ©tais dans un Ă©tat second. Je pense que je ne me suis mĂȘme pas rendu compte de ce que je disais. Jâai criĂ© âSalauds !!!!!!!â. Il y a eu un âOoooohâ de stupeur. Le patron mâa reprise par le bras, et forcĂ© Ă le regarder âAaaah Mademoiselle nâa encore pas compris la leçon ?⊠Et bien cette fois on va voir !!!âŠâ Et cette fois il mâa juste courbĂ©e sous son bras. Il Ă©tais tellement fort quâil me tenait complĂštement penchĂ©e en avant, avec lâimpossibilitĂ© complĂšte de me redresser, ni mĂȘme de me dĂ©gager ⊠La fessĂ©e a repris. Mais cette fois il mâa fessĂ© avec une force et une rapiditĂ© incroyable. LâintensitĂ© des claques Ă©tait telle que nous ne restions pas immobiles. Je sursautais Ă chaque claque, je me tortillais enfin, aussi bien que je le pouvais, tant jâĂ©tais tenue fermement sous son bras, et curieusement, nous tournions petit Ă petit comme une sorte de valse lente, rythmĂ©e par les claques qui rĂ©sonnaient de maniĂšre assourdissante. Aussi le bruit de mes pleurs qui maintenant Ă©taient interminables et dĂ©chirants. Ca nâen finissait plus. Jâai dĂ» recevoir au moins 500 claques si ce nâest plus, beaucoup plus. Parfois jâĂ©tais de face Ă mes collĂšgues et je les voyais, complĂštement hilares. Cette fois ils avaient aussi lĂąchĂ© les vannes du rire. Je les entendais âHaaaa ha ha ha ha !!!âŠâ â On lui voit tout !!!â âOh ouiii câest trop drĂŽle !âŠâ âOn voit sa foufoune !!!!!âŠ..â âHaaa ha ha ha ha ha !!!âŠ..â âTu vois bien ?⊠Viens par ici ma chĂ©rie âŠâ â Quelle fessĂ©e, ah mais quelle fessĂ©e mes amies !!!âŠâ âOuiiii Haaaa ha ha ha ha ha ha !!!âŠ..â â Oh les gars, jâai jamais cru que je verrai ça un jour !!!âŠ..â âQuelle honte !!!âŠâ âJe vois tout je vois tout !!! Hiiiii !!!!!⊠Aaah la la câest trop beau â âHaaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!!!!!!â Ma collĂšgue pleurait littĂ©ralement de rire ⊠Et puis enfin, enfin, il a arrĂȘtĂ© la fessĂ©e et mâa fait me relever. En fait jâai commencĂ© par me mettre Ă sautiller frĂ©nĂ©tiquement en hurlant hystĂ©riquement et en me frottant les fesses. Jâavais perdu toute pudeur. CâĂ©tais absolument ridicule. Puis je me suis effondrĂ©e, Ă genou puis dans la position escargot, en mâexhibant de façon de plus en plus obscĂšne. Mais le patron mâa fait brusquement me relever. Jâavais Ă©videmment abandonnĂ© mes louboutins pendant la fessĂ©e⊠Il mâa remise debout, face aux collĂšgues. âMains sur la tĂȘte !!! Et maintenant, excusez-vous!!!!!â Je ne sais pas ce qui a bien pu ĂȘtre compris de ce que jâai vaguement rĂ©ussi Ă articuler, au milieu de mes sanglots. Mais ça a eu lâair de satisfaire le chef. Il mâa redonnĂ© deux Ă©normes claques sur les fesses en mâordonnant de me reculotter. Jâai dĂ» ramasser ma culotte et la remonter devant tout le monde, pendant quâil regardait lâassemblĂ©e avec un air triomphant, et que des applaudissements sans fins ont commencĂ©. Jâai redescendu ma jupe tant bien que mal, jâai attrapĂ© mes louboutins, et, sans mĂȘme prendre le temps de les remettre, je me suis enfuie hors de lâopen space pour courir me rĂ©fugier aux WC, toujours sous les applaudissements et dans un dernier immense Ă©clat de rire. Je nâai pas osĂ© aller au rĂ©fectoire manger avec les gens. Je me suis cachĂ©e tant bien que mal. Mais je voyais mes collĂšgues rire, et jâentendais quâil continuaient de se lancer des quolibets Ă mon Ă©gard. CâĂ©tait terrible. Ă un moment je suis soudain retrouvĂ©e en face de mon voisin de travail, au contour dâun mur.. il mâa vu, puis a commencĂ© Ă ricaner ⊠et enfin il a voulu me dire quelque chose, mais je me suis retournĂ©e et suis partie en courant pour ne pas lâentendre. HĂ©las, Ă la fin de la pause de midi, il a bien fallu que je retourne Ă mon travail. Je suis entrĂ©e a lâextrĂȘme fin de la pause, alors que tout le monde Ă©tait dĂ©jĂ assis Ă sa place. Je voyais tous les regards goguenards qui me dĂ©visageaient. Je me suis assise en faisant une grimace. Ăa brĂ»lait encore terriblement !⊠Et je respirais encore difficilement, tant jâavais pleurĂ©. Jâen avais mal Ă la poitrine. Mon voisin sâest penchĂ© vers moi et mâa chuchotĂ© âMagnifique spectacle, tu nous a offert lĂ !âŠâ Je me suis sentie rougir jusquâa la racine des cheveux. Jâavais beau regarder autour de moi, je ne voyais aucun regard de pitiĂ© ou de compassion. Que des regards malicieux et moqueurs. Mais le pire câest quand ma collĂšgue dĂ©testĂ©e est venue me trouver, une heure plus tard !⊠Je ne lâai pas vue arriver. Tout a coup sa voix mâa fait sursauter. Elle mâa chuchotĂ© Ă lâoreille âEh bien, ma chĂ©rie, quelle fessĂ©e !!!⊠Moi, Ă cĂŽtĂ©, câĂ©tait du pipi de minet ⊠et cul nu, en plusâŠ. oh la honteâŠ. comme ça jâai pu voir tes fesses moi, hi hi hi ⊠tu ne peux pas en dire autant ⊠et jâai pu voir que tu as un peu de cellulite⊠câest bien fait pour toi, et si jamais un jour tu as besoin de te rafraĂźchir la mĂ©moire, jâai filmĂ© ta raclĂ©e avec mon smartphoneâŠâ Puis soudain, sans crier gare, peut-ĂȘtre parce que, anĂ©antie par tant de mĂ©chancetĂ©, je ne rĂ©agissais pas comme elle lâaurait voulu, elle se met a parler beaucoup plus fort, pour que tout le monde entende âJâespĂšre que ça tâauras appris ta lecon ?⊠Ah, on peut dire que tu nous a bien fait rire !!! Hiii hi hi hi !!! Pas vrai les autres ?â Je lâai regardĂ©e dâun air mĂ©chant. Heureusement, personne nâa osĂ© lui rĂ©pondre ⊠Elle ajoute, pour bien enfoncer le poignard dans mon coeur âVoilĂ ce qui arrive aux petites employĂ©es Ă©cervelĂ©es qui font mal leur travail !âŠâ Je la regarde en essayant de la tuer du regard, et je me lĂšve Ă moitiĂ© pour lui faire face. Elle me nargue âTu en veux encore une ?â Je me prĂ©fĂšre faire profil bas et me rassieds. Dâailleurs le boss apparaĂźt et la rappelle sĂšchement Ă sa place. En fait, ça a Ă©tĂ© vraiment dur pour moi pendant environ une semaine. En gĂ©nĂ©ral je devais juste affronter des regards encore rigolards, voire franchemenrt moqueurs. Parfois on me rappelait de maniĂšre pas trĂšs fine ce que je leur avais montrĂ© si honteusenent. Les collĂšgues fĂ©minines Ă©taient dâailleurs souvent beaucoup plus mĂ©chantes et perverses que les hommes. Quoique certains collĂšgues masculins ne se gĂȘnaient pas de lancer des blagues extrĂȘmement vulgaire sur moi. Un dessin caricatural a mĂȘme circulĂ© quelques jours ⊠Au bout de deux semaines, heureusement, ça sâest calmĂ©. Mais je me posais de sĂ©rieuses questions sur mon avenir dans cette entreprise. Je ne me sentais plus lâenvie de faire carriĂšre dans cette boĂźte. Je me suis donc mise en recherche active dâun nouveau job. Mais sans succĂšs. Ă chaque fois ma candidature nâĂ©tait pas retenue. Et puis, est arrivĂ© un jour oĂč jâai pu passer toutes les sĂ©lections et aller jusquâen finale. Nous nâĂ©tions plus que 2 candidates. Lors du dernier entretien, qui Ă©tait dĂ©terminant, jâai Ă©tĂ© reçue par un homme et une femme. Or devinez quoi ? Pendant lâentretien, jâai cru ressentir comme une sorte de raillerie dans toutes les questions quâils me posaient. Leurs questions Ă©taient parfois mĂȘme trĂšs ambiguĂ«s. Du style âSi vous faites une erreur, vous prĂ©fĂ©rez une procĂ©dure classique dâenquĂȘte qui peut mal tourner pour vous, ou une maniĂšre plus expĂ©ditive, Ă©ventuellement dĂ©sagrĂ©able dur le moment, mais en sachant que vous conserverez votre poste ?â Je suis tellement naĂŻve que je nâai mĂȘme pas tout de suite compris !⊠Ils avaient, Ă©videmment, Ă©tĂ© informĂ©s de ce qui mâĂ©tait arrivĂ© environ trois mois plus tĂŽt⊠en fait jâai mĂȘme fini par avoir la preuve quâils avaient reçu la vidĂ©o. Quâest-ce qui mâa pris dâaccepter le poste quâils mâont offert a bras ouvert ?âŠMais ça, câest une nouvelle histoire, que je vous raconterai peut-ĂȘtre plus tard, si vous le dĂ©sirez !âŠ
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chanson l escargot s en allait a la foire